La mission de Valérie Gandemer :

Réduire l’empreinte carbone des bâtiments

Valérie Gandemer est responsable développement durable à la Direction de l’Immobilier d’Exploitation Covéa/MMA. Son engagement : accompagner les équipes qui exploitent les bâtiments de MMA pour diminuer l’impact environnemental de ces derniers et mettre en place des process plus durables.


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Le secteur du bâtiment a un impact environnemental très élevé. On estime qu’il émet plus de 40 % des émissions de gaz à effet de serre en France(1). C’est pourquoi Covéa/MMA a fait de la réduction des émissions carbone de ses bâtiments un des axes de sa démarche de développement durable.


Valérie Gandemer participe activement à cette démarche en tant que responsable développement durable depuis trois ans au sein de la Direction de l’Immobilier d’Exploitation Covéa/MMA. Elle a pour mission d’impulser le changement sur ce sujet. « Mon périmètre d’action est très vaste. Je travaille sur tous les sujets où on peut développer des process plus durables, afin de limiter notre impact. »

VALÉRIE GANDEMER

« Mon métier, c’est de convaincre les équipes qu’elles ont la main pour réduire notre empreinte environnementale. Il faut donner l’envie, le sens, écouter, beaucoup s’informer car tous ces sujets sont nouveaux et évoluent très vite. »

Imaginer tout ce qu’il est possible de faire

Valérie travaille avec les équipes pour identifier les leviers sur lesquels agir et les process à mettre en place en vue d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050. Premier levier : réduire la consommation énergétique des bâtiments, des parkings et équipements techniques, et décarboner les sources d’énergie, en basculant progressivement vers des énergies renouvelables. C’est ainsi que plus de 2 300 panneaux photovoltaïques ont été installés sur le site de Chartres.
Autres leviers d’action : le réemploi ou recyclage de matériaux, de matériel de bureau, sur les chantiers de rénovation. La biodiversité est également prise en compte. Sur les campus du Mans et de Chartres, nous appliquons des principes de gestion plus écologique, pour que la biodiversité puisse se développer : zéro phyto, tonte raisonnée, fauchage tardif, paillage des sols, développement de prairies fleuries, installation de nichoirs à mésanges, nids à insectes et autres abris naturels pour des chauves-souris, etc. Ainsi, nous avons, par exemple, la chance de voir revenir - tous les ans - des faucons crécelles nicher sur notre site à Chartres.

- 25 %

C’est la contribution de la Direction de l’Immobilier d’Exploitation à la réduction des émissions carbone du Groupe Covéa.

Autre sujet majeur : la restauration collective. Le groupe Covéa s’est fixé l’objectif d’augmenter de 10% la part de plats végétariens dans tous ses restaurants d’ici à 2024. Une décision qui contribue à hauteur de 5% aux objectifs de baisse des émissions du Groupe. Sur la partie restauration, une démarche anti-gaspillage a également initiée et les partenariats avec des fournisseurs de produits locaux et/ou bio se développent.
Le restaurant de Strasbourg a ainsi récemment reçu le label « Assiettes Végétales », qui récompense les établissements de restauration collective ayant mis en place une alimentation durable, avec des aliments d’origine végétale au cœur de leurs menus.


Contribuer à de nouveaux modèles plus durables

Pour Valérie, participer à la mise en place de ces actions est une source de motivation au quotidien. Après 20 ans passés dans les métiers de l’assurance, elle souhaitait consacrer son énergie à des valeurs qui lui sont chères : l’environnement et le social. « Comme nous sommes amenés à travailler avec des tiers, nous favorisons le local, et, si possible, l’économie sociale et solidaire. Par exemple, sur nos sites de Chartres et du Mans, ce sont des Établissements et services d’aide par le travail (ESAT) qui entretiennent nos espaces verts. »


Ces actions mises en place sont une fierté pour Valérie et les équipes immobilières, mais elles demandent de l’engagement et de la conviction. « Il faut donner l’envie, donner le sens, accompagner, écouter et beaucoup s’informer. Tous ces sujets sont nouveaux et évoluent très vite, nous sommes parfois sur des sujets avant-gardistes ! »


Ce qui anime Valérie, la source où elle puise son énergie chaque jour ? « C’est d’avoir un travail qui a du sens et qui me donne un pouvoir d’action, dans ce monde où l’on doit plus que jamais agir. »


(1) Source : ministère de la Transition écologique, « Construction et performance environnementale du bâtiment, 2022.

Page mise à jour le 16/09/2024